Désolée pour les entrées pas très gaies mais bon X__x
Line presque terminée pour ce dessin (recadré ici) :
Humeur très gaie, évidemment...
Petit Joseph, inspiré par certains chapitre du tome 1
A la demande de quelques personnes, voici un plan de Debresi, la capitale valaque. Il figurera dans le Tome 2 au même titre que la carte des Terres de l’Est, ainsi qu’un autre plan très utile (je le posterai en temps voulu, un peu de surprise que Diable !)
NB : Les numéros et leurs correspondances ne seront pas sur la version imprimée pour ne pas qu’elle en devienne illisible (format A5 oblige)
Debresi est une ville très grande (pour une ville médiévale), et le château royal l’est tout autant, puisqu’il est décrit comme la plus vaste forteresse du Continent (il a la taille d’une bourgade, en termes de capacité).
La ville se trouve sur une plaine à peine bosselée par endroits mais le château, lui, se niche au sommet d’une chaîne de montagnes « abruptes » et acérées. Très difficile à attaquer, d’ailleurs les jardins royaux ont été construits sur un mini plateau artificiel creusé dans la montagne et accessible par un chemin en pierre. Des jardins « suspendus » en quelque sorte (il n’y avait pas de place à l’intérieur des enceintes). Je ferai un rough en "3D" histoire de mieux montrer la configuration environnementale :)
Quelques précisions :
- Les dortoirs pour nouvelles recrues : l’endroit où Lucian loge dans le T1 à son arrivée, qu’il qualifie de « bouge » ou de « nid à cafards » (en bas à droite, sous la rivière, ce sont les quartiers les moins reluisants de la ville)
- Bains publics + jardins du château : rdv dans les T2 et T3 ^^
- La plaine : celle où s’est tenu le tournoi. Celle aussi que Victor a convertie en forêt de pal,s parce que le vent souffle toujours dans la même direction à cet endroit du fait de la topographie, càd la direction opposée au château. Ça évite certains relents pas très agréables X_x
J'avais complètement oublié cette line d'Elgor, qui sera colorisée une fois que j'aurai fini ma première commission :)
Quand Ana est ainsi, la seule chose à dire c’est “A vos ordres, capitaine!” (ou « oui maîtresse, gniiiih *_* » si on s’appelle Lucian)
Un petit truc archi vite fait qui, j’espère, plaira aux fans de la belle botteuse de fesses ^^
L’intéressé (Joseph) manifesta son indifférence d’un haussement d’épaules et orienta sa main vers Orcus : « Bonjour, toi aussi », murmura-t-il en grattant son cou du bout des ongles. L’oiseau déplia légèrement les ailes, bec entrouvert avec plaisir sous cette caresse. Alors, le prince prit un bout de mie, comme l’avait fait Costea avant lui, et le présenta à l’animal. Une nouvelle fois ingrat, celui-ci ferma son bec dans un claquement et remua la tête.
— Sale bestiole ! grinça Joseph. C’est comme ça que tu me remercies ? C’est moi qui t’ai acheté, en plus !
— Ah ! Vous voyez bien, Sire, votre aigle est têtu !
— Penses-tu ! Il était moins difficile, avant. Tout ça, c’est parce que Victor le gave. Regarde comme il est gras, on dirait un dindon.
— Un dindon ! releva Victor. Mon aigle royal, un dindon !
— Et tu sais ce qu’on leur fait, aux dindons, maudit volatile ? On les passe à la broche ! Déplumés, dorés au four, oui ! Ah, tu ferais moins le fier, hein ? insista Joseph dans une gestuelle burlesque, un doigt réprobateur pointé vers l’objet de ses menaces.
Le souverain éclata de rire, un rire franc qui surprit Costea.